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Les alternatives

nutritionnelles

Afin de soulager leurs symptômes les patients atteints de MICI se tournent de plus en plus vers des alternatives qui se veulent plus naturel et moins médical.

 

Parmi ces alternatives on retrouve :

  • Les biothérapies avec les thérapies cellulaires, la manipulation de cellules souches, les greffes de tissu et le transfert géniques.

 

  • La sophrologie, la naturopathie ou encore l’homéopathie sont des pratiques alternatives dites de « médecines douces ». Elles sont fréquemment utilisées par les patients atteints d’une MICI pour compléter les traitements traditionnels et soulager les symptômes. Car en effets les périodes de poussée de la maladie de Crohn sont aussi liées au stress, de ce fait une meilleure gestion du stress aidera à stabiliser les crises.

 

Les mesures hygiéno-diététiques

  • L’arrêt du tabac en cas d’une maladie de Crohn, qui permet d’observer des effets extrêmement positifs au niveau des poussées de la maladie, elles seront moins fréquentes et moins intenses que si le patient continue de fumer. De plus une étude réalisée chez 174 patients, parue en 1990, a montré que le taux de récidives (manifestations nécessitant une reprise chirurgicale) à 5 et 10 ans était de 20 et 41 % chez les non-fumeurs et de 36 et 70 % chez les fumeurs.Les risques chez les fumeurs augmentaient significativement avec l'importance et l'ancienneté du tabagisme.Après un an de sevrage, la comparaison des 3 groupes, fumeurs, anciens fumeurs et non-fumeurs, montre une différence dans l'évolution de la maladie et sa thérapeutique. Le groupe fumeurs présente un risque de rechute de la maladie, une gravité des poussées et des besoins en corticoïdes et immunosuppresseurs significativement plus importants. Chez les anciens fumeurs, l'évolution de la maladie se traduit par une réduction de 65 % du risque de rechute, et les besoins thérapeutiques sont identiques aux groupes non-fumeurs.

 

  • Adopter la pratique d’une activité physique, en effets le sports permet de mieux gérer le stress, d’améliorer la qualité de vie du patient en période de rémission, mais aussi de maintenir un bon équilibre masse grasse /  masse musculaire. La marche, le Yoga, la nage et le Pilate sont des activités tout à fait adapter dans le cas de la maladie de Crohn.

  • Adoption d’un régime alimentaire spécifique et adapté. En période de poussée (diarrhée, maux de ventre), l'objectif des mesures diététiques est de limiter l'irritation du tube digestif et de maintenir un apport optimal en nutriments

 

 

Les probiotiques pour soulager les MICI

 

 A ce jours les causes d’apparition de MICI reste mal connue, mais il a été constaté qu’il existe un lien entre les MICI et un déséquilibre du microbiote intestinal.

La recherche a aussi démontré que les patients atteint de MICI présenter une dysbiose, donc un déséquilibre au niveau de la population bactérienne intestinal (le microbiote).

 

Les probiotiques, qui sont des microorganismes vivants ont selon de récente études scientifiques un impact positif sur la santé du patient s’ils sont consommer en quantité suffisante.

 

En effets des études ont mis en évidence que certaines souches probiotiques (lactobacilles et/ou bifidobactéries) qui présente une action anti-inflammatoire sont capable d’aider à corriger le déséquilibre bactérien intestinal, qui dans cet état de dysbiose n’est plus apte à exercer ses fonctions correctement, et ainsi à soulager les douleurs et symptômes des patients atteints de MICI.

Leurs modes d’action sont complexes car ils contiennent de nombreux principes actifs. Les probiotiques peuvent agir directement sur l’écosystème intestinal (dysbiose) mais aussi indirectement en réduisant l’hyperperméabilité intestinale (omniprésente au cours des MICI) ou en diminuant l’inflammation.

L’ensemble de ces propriétés en font des outils thérapeutiques d’importance pour les MICI.

En matière de nutrition, les laits fermentés (yaourt utilisant des souches spécifiques de probiotiques) sont intéressants (même si leurs impacts restent difficiles à évaluer). Les fibres sont des composants nutritionnels à part entière. Dans le contexte thérapeutique, ces fibres sont des substrats nutritifs du microbiote, elles peuvent donc complémenter l’alimentation sous forme de prébiotiques pour améliorer la dysbiose intestinale.

La greffe fécale est aussi un médicament.

 

En situation de dysbiose avérée comme c’est le cas dans les MICI, elle est évoquée comme outil thérapeutique.

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